L’amour sans émotion… et sans
fantasmes
Partie 20 : Sexualité
horizontale ou verticale ?
Je vous
partage ici des réflexions qui ne sont pas
encore des affirmations, car je ne suis pas
encore allé au bout de ce chemin de croix
sexuelle.

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Le but de ces textes est de réajuster nos
comportements sexuels pour instaurer un nouveau
contrat de couple et cheminer ensemble vers une
sexualité sacrée, verticale, sans fantasmes ni
interférences émotionnelles. Une sexualité zen
dans toute sa vitalité terrestre et sa splendeur
cosmique.
Selon notre propre travail
intérieur de croissance personnelle, nous
pouvons soit explorer directement cette
dimension verticale, soit faire un détour en
passant par le monde fantasmagorique* de la
sexualité horizontale pour purger nos esprits de
toutes les mémoires.
Je ne
sais pas si l’exploration de nos fantasmes est
nécessaire pour s’en débarrasser. Les nier est
nuisible, c’est sûr. Cette exploration peut être
utile pour mieux se connaître et partager dans
l’ouverture, l’écoute, l’acceptation de soi et
de l’autre. Mais n’est-ce pas une prérogative de
cerveau masculin que de fantasmer sexuellement ?
Oui,
bien sûr, les femmes peuvent aussi fantasmer.
J’entends Barry long** me dire que c’est parce
qu’elles ont laissé la sexualité masculine les
envahir inconsciemment depuis leur petite
enfance, et qu’elles fantasment et baisent comme
des gars...
* Les fantasmes ont leurs sources dans les
mémoires actives (non intégrées) de notre passé
individuel (lignées familiales ou réincarnation,
comme vous préférez) et collectif, que ces
mémoires soient intensément agréables ou
désagréables.
** «
Faire l’amour de Manière
Divine », Barry Long
La suite...
Les cinq mots du pouvoir
féminin
« La motivation de
l'amour vrai, c'est un désir passionné que
l'objet aimé actualise pleinement sa propre
perfection inhérente, indépendamment des
conséquences pour celui qui aime c'est un état
de service. » Stewart Emery |